Zoé Fottorino "Rose de tes rêves"
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NEWS - Zoé Fottorino "Rose de tes rêves"
La musique a toujours fait partie de moi. Dès mon plus jeune âge, j'ai appris le piano, suivant une formation classique de 10 ans, et je me suis finalement tournée plus exclusivement vers le piano-voix que j'ai débuté au collège avec l'Aigle noir de Barbara, une artiste qui m'a énormément inspirée dans mon cheminement musical, mais également de vie. Bien que j'aie arrêté les cours de piano, j'ai continué le conservatoire dans des classes d'écriture musicale et d'harmonie afin d'acquérir davantage de bagage théorique. J'aime m'intéresser à tout exercice musical, et à toutes techniques. C'est pourquoi, j'ai pu écrire sur des musiques ou composer sur des écrits. Je tente d'utiliser les logiciels, je m'accompagne également à l'autoharpe, et dès qu'une occasion de chanter se présente, je la prends. Depuis mes 14 ans, je me prête à l'exercice des jam-sessions du café Pollen des Francofolies de La Rochelle, et je me suis davantage professionnalisée en chantant dans des bars parisiens accompagnée de mon piano ou mon autoharpe. Je suis aujourd'hui chanteuse régulière au Lapin Agile et ai sorti le 15 septembre mon premier EP "Petit Album" avec 5 compositions personnelles, dans un univers de pop-variété chansons à texte. J’ai en projet de 5 prochaines chansons qui sortiront courant 2024, dans l’affirmation de mon projet pop avec un son davantage indie, toujours dans ds chansons à textes type variété.
Je suis très heureuse de vous faire découvrir « Rose de tes rêves »! Dans la continuité de « Je crois que l’amour est mort », ce second single du voyage amoureux de mon projet raconte l’histoire d’une femme passionnée, consumée par son amour pour un homme qui appartient déjà à une autre. Ce titre est un hommage à toutes celles et ceux qui choisissent de s’aimer suffisamment pour se détacher d’un amour qui ne les épanouit pas. Lorsque notre voyage dans l'amour débute, il est toujours emprunt de ronces, il est épineux et parfois inutilement compliqué. Et toi, à quoi tu t’accroches ?
